Du rêve aux peurs nocturnes, Sylvain Huc nous entraîne avec Wonderland dans un monde de couleurs éclatantes où tout semble possible. Deux danseuses y célèbrent le potentiel révolutionnaire de l’enfance.
Rose féérique, vert hallucinatoire, noirs profonds des pires cauchemars : baignées dans des lumières iridescentes en perpétuelle mutation, deux danseuses s’élancent dans un fabuleux voyage.
Dix ans après le succès du Petit Chaperon rouge, sa première création, Sylvain Huc revient à ses premiers amours en jetant son dévolu sur un autre conte initiatique, Alice aux pays des Merveilles. Abandonnant sciemment la narration pour se concentrer sur ce qui est le cœur de son travail – les états de corps – le chorégraphe saisit et magnifie le principe directeur du best-seller de Lewis Carrol : la puissance de métamorphose.
La lumière sculpte l'espace de Wonderland, inspiré par l'œuvre de l'artiste plasticien James Turrell. Traversée aux allures de rêve éveillé, de l’enchantement aux angoisses les plus primaires, Wonderland fait dialoguer la lumière, le son, le mouvement et l’espace pour brouiller les frontières et dérégler nos sens. Car telle est la force magique mais aussi éminemment politique de l’enfance : sa capacité à faire sortir notre humanité de la prison des normes.
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