Grande épure, Serge Landois, 1995
Patrimoine
Grande épure, Serge Landois, 1995
Acier forgé, soudé et peint, 350 x 120 x 110 cm
Centre National de la Fonction Publique Territoriale (CNFPT)
440 rue des Universités, Saint-Martin-d’Hères
Découvrir l'œuvre
Né en 1961 à Valence, Serge Landois est diplômé des Beaux-Arts en 1984. Grand Prix de Rome en 1987, il séjourne deux ans au sein de la Villa Médicis à Rome. L’artiste propose des sculptures en porte-à-faux. Ses œuvres jouent sur les ruptures d’équilibre, ce qui leur confère un certain dynamisme. Entre tension et fragilité, le travail de Serge Landois défie les lois de l’équilibre. Abstrait au premier regard, il intègre souvent des figures humaines ou animales en mouvement au sein de ses compositions.
C’est en 1995 que l’artiste valentinois est choisi pour créer une œuvre devant le CNFPT. Il propose alors deux sculptures, une extérieure de grandes dimensions et une intérieure de plus petite taille, toutes deux se répondant par leur forme. Grande épure est installée sur le parvis du bâtiment. Réalisée en acier, peint en blanc, elle dessine un axe virtuel percutant le bâtiment. Par son agencement, cette œuvre joue avec l’équilibre. L’artiste déclare : ‘’La géométrie allongée de la sculpture, son axe vertical oblique travaillant avec les horizontales du bâtiment, sa double inclinaison latérale et en profondeur, créent un axe virtuel pénétrant l’architecture’’.
Petite épure reprenait la forme générale de l’installation précédente. Bien que présentant une forme similaire, ces deux œuvres offraient un contraste entre le sombre et le clair, la monumentalité et l’intime, la ligne droite et la courbe. Seul le visiteur pouvait être le trait d’union entre ces deux sculptures en passant de l’intérieur à l’extérieur et vice-versa.
C’est en 1995 que l’artiste valentinois est choisi pour créer une œuvre devant le CNFPT. Il propose alors deux sculptures, une extérieure de grandes dimensions et une intérieure de plus petite taille, toutes deux se répondant par leur forme. Grande épure est installée sur le parvis du bâtiment. Réalisée en acier, peint en blanc, elle dessine un axe virtuel percutant le bâtiment. Par son agencement, cette œuvre joue avec l’équilibre. L’artiste déclare : ‘’La géométrie allongée de la sculpture, son axe vertical oblique travaillant avec les horizontales du bâtiment, sa double inclinaison latérale et en profondeur, créent un axe virtuel pénétrant l’architecture’’.
Petite épure reprenait la forme générale de l’installation précédente. Bien que présentant une forme similaire, ces deux œuvres offraient un contraste entre le sombre et le clair, la monumentalité et l’intime, la ligne droite et la courbe. Seul le visiteur pouvait être le trait d’union entre ces deux sculptures en passant de l’intérieur à l’extérieur et vice-versa.
Mis à jour le 8 mars 2024